Tourancheau Philippe
Mémorial de l’internement et de la déportation
Synopsis
En 1944, des officiers anglo-américains détenus en Pologne réussissent à se faire la belle. De cet événement, les studios américains ont tiré un film devenu célèbre : ‘’ La Grande Evasion ‘’.
Cette évasion n’est cependant pas la plus importante de la dernière guerre. Les fugitifs ont copié le mode opératoire rocambolesque, utilisé quelques mois plus tôt par des officiers français. Ce sont eux en réalité qui ont réussi, en septembre 1943, la plus grande évasion.
En effet, il y a plus de 70 ans, dans l’oflag 17A, un camp d’officiers français installé en Autriche, 132 hommes réussirent à s’évader en creusant un tunnel de plus de 100 mètres de long, au nez et à la barbe de leurs gardiens. Poursuivis par plus de 50 000 soldats allemands, 14 parviendront pourtant à retrouver le chemin de la liberté pour reprendre le combat.
Ils n’ont pas été les seuls à tenter de se faire la belle. Durant la dernière guerre, de nombreux français captifs du Reich ont tenté individuellement ou en petits groupes de s’évader. Sur près de 2 millions de prisonniers les statistiques indiquent qu’il y a eu autant de tentatives d’évasions.
Malheureusement, la plupart d’entres elles échouèrent et les historiens estiment qu’au total, seuls 70 000 hommes réussirent à retrouver le chemin de la liberté.
D’anciens prisonniers se souviennent de l’époque où, pour avoir franchi la limite interdite des barbelés et des miradors, ils sont devenus des bêtes à abattre pour le régime nazi.
Aucun ne regrette ce moment de liberté qu’ils ont souvent chèrement payé. Ils nous racontent leurs incroyables aventures.
Réalisation
Derrière la caméra
À propos
Tout ce qu'il faut savoir
En 1944, des officiers anglo-américains détenus en Pologne réussissent à se faire la belle. De cet événement, les studios américains ont tiré un film devenu célèbre : ‘’ La Grande Evasion ‘’.
Cette évasion n’est cependant pas la plus importante de la dernière guerre. Les fugitifs ont copié le mode opératoire rocambolesque, utilisé quelques mois plus tôt par des officiers français. Ce sont eux en réalité qui ont réussi, en septembre 1943, la plus grande évasion.
En effet, il y a plus de 70 ans, dans l’oflag 17A, un camp d’officiers français installé en Autriche, 132 hommes réussirent à s’évader en creusant un tunnel de plus de 100 mètres de long, au nez et à la barbe de leurs gardiens. Poursuivis par plus de 50 000 soldats allemands, 14 parviendront pourtant à retrouver le chemin de la liberté pour reprendre le combat.
Ils n’ont pas été les seuls à tenter de se faire la belle. Durant la dernière guerre, de nombreux français captifs du Reich ont tenté individuellement ou en petits groupes de s’évader. Sur près de 2 millions de prisonniers les statistiques indiquent qu’il y a eu autant de tentatives d’évasions.
Malheureusement, la plupart d’entres elles échouèrent et les historiens estiment qu’au total, seuls 70 000 hommes réussirent à retrouver le chemin de la liberté.
D’anciens prisonniers se souviennent de l’époque où, pour avoir franchi la limite interdite des barbelés et des miradors, ils sont devenus des bêtes à abattre pour le régime nazi.
Aucun ne regrette ce moment de liberté qu’ils ont souvent chèrement payé. Ils nous racontent leurs incroyables aventures.
Fiche technique
- Production : Eclectic Production
- Pays de production : France
- Année : 2015
- Durée : 52 minutes
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